La pointe des Poulains/Belle-Île-en-Mer/2010
«La première fois que je vis Belle-Île, je la vis comme un havre, un paradis, un refuge. J’y découvris à l’extrémité la plus venteuse un fort, un endroit spécialement inaccessible, spécialement inhabitable, spécialement inconfortable et qui par conséquent m’enchanta.» Sarah Bernhardt (1844-1923)
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